L’assurance vie en cas de décès : transmission, fiscalité, bénéficiaires Contacter un conseiller L’assurance vie en cas de décès : transmission, fiscalité, bénéficiaires À la fois flexible, disponible et diversifiée, l’assurance vie est un placement financier favorisé par les français. En effet, il permet d’épargner pour concrétiser une grande diversité de projets mais constitue également un dispositif intéressant pour la transmission de votre patrimoine. Lors de votre décès, vos bénéficiaires peuvent toucher chacun une part de capital dans des conditions fiscales avantageuses. Modalités, fiscalités, répartition des bénéficiaires : voici tout ce que vous devez savoir sur l’assurance vie en cas de décès. 700 € offert et même plus Faire une simulation Découvrir notre offre et même plus Faire une simulation Découvrez également : Assurance vie - Explication assurance vie - Assurance vie fiscalité - Assurance vie épargne - Succession assurance vie - Plan épargne retraite individuelle - Souscription assurance vie - Frais assurance vie - Comparateur assurance vie - Meilleure assurance vie Que devient votre assurance vie en cas de décès ? En cas de décès du souscripteur d’une assurance vie, le capital constitué est versé aux bénéficiaires désignés dans la clause bénéficiaire du contrat. En l'absence de bénéficiaire désigné, le capital entre dans la succession du souscripteur. Aussi, veillez à bien renseigner et maintenir à jour la clause bénéficiaire pour assurer la transmission optimale de votre capital. Bon à savoir Il peut arriver que le nom des bénéficiaires d’une assurance vie soit inscrit sur un testament notarié. Dans ce cas-là, il incombe au notaire d’en informer les principaux concernés. Comment désigner les bénéficiaires de votre assurance vie en cas de décès ? La clause bénéficiaire est une disposition essentielle dans un contrat d'assurance vie qui détermine les personnes physiques ou morales qui recevront le capital ou la rente prévue au moment de votre décès. Tous les contrats d’assurance vie comportent une clause bénéficiaire standard prévoyant, en cas de décès, le versement du capital « au conjoint ou au partenaire de PACS, à défaut aux enfants nés ou à naître, vivants ou représentés, à défaut aux héritiers ».Toutefois, vous êtes libre de modifier cette clause pour exprimer vos propres volontés. À savoir que la clause bénéficiaire doit être rédigée de manière claire et précise pour éviter toute ambiguïté. Les bénéficiaires doivent être identifiables sans confusion possible : Votre conjoint : précisez bien qu’il s’agit de votre “conjoint non séparé de corps, non engagé dans une procédure de divorce ou de séparation de corps” Vos bénéficiaires non-héritiers : désignez-les par leurs prénoms, noms, date et lieu de naissance et adresse. Vos bénéficiaires de second rang : si votre conjoint ou vos bénéficiaires non-héritiers sont décédés au moment de votre décès, alors le capital sera transmis à vos bénéficiaires de second rang. Afin que votre contrat ne tombe pas en déshérence (absence d'héritiers qui résulte en la transmission d’une succession à l’État) en cas de décès de tous les bénéficiaires, concluez votre clause par « à défaut, mes héritiers ». Quelle est la fiscalité de l’assurance vie en cas de décès ? En cas de décès, vos bénéficiaires désignés peuvent recevoir un capital versé en une seule fois ou bien une rente périodique, selon ce qui est prévu dans le contrat. La transmission dans le cadre de l’assurance vie s’inscrit hors succession, ce qui signifie que le versement des capitaux décès n’est pas soumis aux règles de la réserve héréditaire. Pour les primes versées avant 70 ans Chaque bénéficiaire désigné bénéficie d'un abattement de 152 500 euros sur les sommes reçues. Cet abattement s'applique à l'ensemble des primes versées avant 70 ans, quel que soit le nombre de contrats d'assurance vie souscrits. Au-delà de l'abattement de 152 500 euros par bénéficiaire, un prélèvement forfaitaire de 20 % est appliqué sur la fraction des capitaux décès transmise jusqu’à 700 000 €, puis 31,25 % pour la fraction dépassant 700 000 €. Ce prélèvement est non libératoire et est calculé par l'assureur au moment du versement des sommes aux bénéficiaires. Pour les primes versées après 70 ans Un abattement global de 30 500 euros s'applique sur l'ensemble des bénéficiaires pour les primes versées après 70 ans. Ce montant est réparti entre tous les contrats d'assurance vie détenus par le défunt, sans distinction du nombre de contrats. Les gains (intérêts et plus-values) générés par les primes versées après 70 ans restent exonérés d'impôt sur le revenu, à condition que le total des primes versées n'excède pas 152 500 euros par bénéficiaire. Au-delà de ce seuil, les gains sont soumis à un prélèvement forfaitaire de 20 %. Vous êtes bénéficiaire : quelles démarches effectuer en cas de décès de l’assuré ? En cas de décès de l’assuré, vous devez notifier sa disparition à la compagnie d'assurance. Si vous étiez informé de votre désignation, alors vous devez prendre contact directement avec l'assureur pour entamer les démarches nécessaires. En revanche, si vous n’étiez pas informé de votre désignation, c'est à l'assureur, connaissant le décès de l'adhérent, de venir vous solliciter. Dans le cas où la clause bénéficiaire n'était pas explicitement indiquée dans le contrat mais déposée chez un notaire, c'est ce dernier qui se charge d'informer l'assureur de la désignation. Pour pouvoir toucher la part du capital qui vous est dû, il vous incombe d’abord de fournir l'acte de décès de l'adhérent. Ensuite, l'assureur lui transmet un dossier à compléter comprenant notamment les pièces suivantes : pièce d’identité. certificat d’hérédité, acte de notoriété, lettre d'acceptation du bénéfice de l'assurance vie, certificat d’acquittement ou de non-exigibilité des droits de mutation… Avant de procéder au versement des capitaux, l'assureur effectue une vérification minutieuse de la validité du contrat, de votre identité et de la conformité des pièces justificatives fournies. Une fois toutes les conditions remplies et les pièces nécessaires réunies, l'assureur est tenu de verser les capitaux décès aux bénéficiaires dans un délai d'un mois. Quelle est la différence entre un contrat d’assurance vie et un contrat d’assurance décès ? Un contrat d'assurance vie est principalement conçu comme un outil d'épargne à long terme, offrant à l'assuré la possibilité de constituer un capital ou une rente. Avec une assurance vie, vous pouvez choisir entre des fonds en euros sécurisés ou des unités de compte plus risquées mais potentiellement plus rentables. En cas de décès, vos bénéficiaires désignés reçoivent le capital ou la rente avec une fiscalité avantageuse grâce à des abattements et des taux d'imposition réduits. En revanche, un contrat d'assurance décès vise à fournir une protection financière immédiate à vos bénéficiaires en cas de décès pendant la période de couverture spécifiée. Il s’agit donc d’un contrat de prévoyance. Contrairement à l'assurance vie, il ne comporte pas de volet d'épargne ou d'investissement. La prestation versée à vos bénéficiaires est généralement un capital fixe convenu à l'avance, qui peut aider à couvrir leurs besoins financiers immédiats après votre décès. Avec Actépargne2, souscrivez la meilleure assurance vie du marché Découvrez Actépargne2, un contrat d’assurance vie multisupport proposé avec La France Mutualiste, membre du groupe Malakoff Humanis. Ce produit est idéal pour diversifier vos placements en toute sécurité. Actépargne2 vous permet de répartir vos investissements entre un fonds en euros sécurisé, qui protège contre les variations du marché, et des unités de compte, dont les rendements sont liés à la performance des marchés financiers. Adapté à vos objectifs, ce contrat est parfait pour ceux qui souhaitent épargner à long terme, préparer leur retraite ou organiser efficacement la transmission de leur patrimoine. Avec Actépargne2, profitez de la flexibilité d’une épargne accessible à tout moment, sans frais sur les versements, et de frais de gestion compétitifs. Bon à savoir : Actépargne2 vous donne accès à des fonds labellisés ISR (Investissement Socialement Responsable). Ce label, soutenu par l’État depuis 2016, certifie que vos investissements respectent des critères environnementaux et sociaux rigoureux, alliant ainsi performance et impact positif. Actépargne2 reçoit le Trophée d'or 2024 du Revenu Rendez-vous annuel de référence, les Trophées d'or du Revenu récompensent les meilleurs contrats d'assurance vie du marché. En 2024, la rédaction du Revenu prime Actépargne2 dans la catégorie "Meilleurs contrats d'assurance vie avec un fonds en euros ouvert à tous" pour la deuxième année consécutive. Cette distinction souligne la qualité de notre contrat et notre engagement à protéger et rendre accessible l'épargne de nos adhérents. Grands Prix de l’Assurance-vie pour Actépargne2 Depuis plus de 20 ans, le magazine Mieux Vivre Votre Argent décerne chaque année ses Grands Prix de l’Assurance-vie(2). En 2024, notre contrat d’assurance vie reçoit deux mentions : la Mention Très bien du Grand prix Multisupport la Mention Très bien du Grand prix Fonds en Euros (1) Offre valable pour toute première souscription au contrat d’assurance vie multisupport Actépargne2 ou au Plan d’Épargne Retraite Individuel LFM PER’FORM entre le 1er septembre 2024 et le 31 décembre 2024 (sous réserve de la réception de l’intégralité des pièces demandées pour la constitution du dossier). La valeur de l’abondement sera de 100 € pour un versement minimum de 3 000 €, 200 € pour un versement minimum de 10 000 €, 300 € pour un versement minimum de 30 000 € et 700 € pour un versement minimum de 70 000 €. L’abondement, versé à l’issue de la période de renonciation, est investi selon la même répartition que le versement initial. Le versement initial devra être investi au minimum à hauteur de 25 % en unités de compte en gestion libre ou être réalisé en gestion pilotée ou en gestion profilée (qui comporte entre 25 % et 100 % d’unités de compte, selon le profil), hors profil Sécuritaire. L’investissement en unités de compte comporte un risque de perte en capital. La valeur des unités de compte n’est pas garantie mais est sujette aux fluctuations des marchés financiers à la hausse comme à la baisse. La France Mutualiste se réserve le droit de prélever la valeur de l’abondement si l’adhérent procède à un rachat total au cours de la 1ère année du contrat. L’offre est valable une seule fois par contrat et par personne physique, non cumulable avec toute offre en cours et pourra être interrompue par La France Mutualiste à tout moment. (2)Distinction valable un an décernée par un jury d’experts indépendants (Le Revenu et Mieux Vivre Votre Argent) HP Univers Désactivé